- EAN13
- 9782331046506
- Éditeur
- Glénat BD
- Date de publication
- 05/02/2020
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Glénat BD 15,50
Le cinéma est une arme de guerre.
Paris, sous l’Occupation, septembre 1941. Un incendie dans le cinéma Le
Concordia détruit la pellicule d’un film de propagande nazi. Chargé de
résoudre l’affaire, le commissaire français Engelbert Lange découvre sur les
lieux qu’il est surveillé par la Gestapo. Car c’est la deuxième fois qu’un
acte similaire est perpétré dans la capitale, les autorités allemandes
prennent donc la chose très au sérieux : la piste terroriste est privilégiée.
Son enquête va conduire Lange dans le monde du 7e Art. Il va découvrir
l’intensité créatrice et le vent de liberté qui subsistent dans un Paris sous
tension. Mais entre la pression de ses supérieurs et celle de l’occupant, il
va surtout devoir rendre des comptes... et voir resurgir de vieux démons.
À travers ce polar historique bien ficelé et dessiné par la prometteuse Alicia
Grande, Laurent Galandon nous fait arpenter les rues d’un Paris occupé où le
cinéma peut aussi bien servir à contester le pouvoir qu’à le maintenir. Une
enquête en deux volumes.
Paris, sous l’Occupation, septembre 1941. Un incendie dans le cinéma Le
Concordia détruit la pellicule d’un film de propagande nazi. Chargé de
résoudre l’affaire, le commissaire français Engelbert Lange découvre sur les
lieux qu’il est surveillé par la Gestapo. Car c’est la deuxième fois qu’un
acte similaire est perpétré dans la capitale, les autorités allemandes
prennent donc la chose très au sérieux : la piste terroriste est privilégiée.
Son enquête va conduire Lange dans le monde du 7e Art. Il va découvrir
l’intensité créatrice et le vent de liberté qui subsistent dans un Paris sous
tension. Mais entre la pression de ses supérieurs et celle de l’occupant, il
va surtout devoir rendre des comptes... et voir resurgir de vieux démons.
À travers ce polar historique bien ficelé et dessiné par la prometteuse Alicia
Grande, Laurent Galandon nous fait arpenter les rues d’un Paris occupé où le
cinéma peut aussi bien servir à contester le pouvoir qu’à le maintenir. Une
enquête en deux volumes.
S'identifier pour envoyer des commentaires.