- EAN13
- 9782260029502
- Éditeur
- Julliard
- Date de publication
- 04/02/2016
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Julliard 18,00
Romain s'était figuré qu'un père allait grandir en lui à mesure que l'enfant
se développerait dans le ventre de la femme qu'il aime. À deux semaines de
l'accouchement, il doit se rendre à l'évidence : ce n'est pas le cas. Et
lorsque, un jour de tempête, Louise ressent les premières contractions, il est
mis doublement au pied du mur puisqu'une autre parturiente se retrouve avec
eux en salle de travail. Deux femmes, deux accouchements et deux naissances en
quelques heures, c'est beaucoup pour un seul homme. Dans le déchaînement des
éléments, entre la vie qui vient et la mort qui rôde, Romain va subir un
apprentissage de la paternité à marche forcée et découvrir qu'il n'y a pas
d'autre façon d'accepter son enfant que de commencer par s'accepter soi-même.
Après SMS, Mon pire ennemi est sous mon chapeau et Le Jour où j'ai voté pour
Chirac, Laurent Bénégui quitte le registre de la comédie pour observer à la
loupe la nature du sentiment paternel. Sans rien perdre de sa veine romanesque
il explore avec justesse cette question sans cesse reposée par l'évolution des
moeurs et de la société.
se développerait dans le ventre de la femme qu'il aime. À deux semaines de
l'accouchement, il doit se rendre à l'évidence : ce n'est pas le cas. Et
lorsque, un jour de tempête, Louise ressent les premières contractions, il est
mis doublement au pied du mur puisqu'une autre parturiente se retrouve avec
eux en salle de travail. Deux femmes, deux accouchements et deux naissances en
quelques heures, c'est beaucoup pour un seul homme. Dans le déchaînement des
éléments, entre la vie qui vient et la mort qui rôde, Romain va subir un
apprentissage de la paternité à marche forcée et découvrir qu'il n'y a pas
d'autre façon d'accepter son enfant que de commencer par s'accepter soi-même.
Après SMS, Mon pire ennemi est sous mon chapeau et Le Jour où j'ai voté pour
Chirac, Laurent Bénégui quitte le registre de la comédie pour observer à la
loupe la nature du sentiment paternel. Sans rien perdre de sa veine romanesque
il explore avec justesse cette question sans cesse reposée par l'évolution des
moeurs et de la société.
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