- EAN13
- 9782213702896
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 19/09/2018
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Fayard 22,00
Les dirigeants de Vichy n’ont réussi à imposer inaction et silence qu’à leurs
propres femmes. Car jamais, dans leur histoire, les Françaises ne se sont
autant engagées que pendant la Seconde Guerre mondiale.
Dans ce bel essai, Michèle Cointet dresse le portrait de cette France au
féminin, des collaborationnistes et familières du pouvoir, telles la Maréchale
ou Josée Laval, aux résistantes et déportées. En suivant les destins des
nombreuses volontaires de la France libre, des chefs de la Résistance, Berty
Albrecht ou Marie-Madeleine Fourcade, et des petites mains, l’auteur restitue
les formes multiples de l’engagement des femmes dans la guerre. Car si les
convictions politiques en étaient parfois le moteur, il fut souvent le fait
d’une éducation patriotique et d’une éthique. Une dimension que l’on retrouve
dans la difficile question de la déportation féminine.
Autant de questions renouvelées par le regard d’une historienne avertie des
réalités de la société française et qui éclaire d’une manière inédite
l’histoire des femmes jusque dans l’après-guerre. La voie de leur intégration
à la vie politique était en effet ouverte.
Professeur émérite d’histoire contemporaine à l’université de Tours, Michèle
Cointet a écrit de nombreux ouvrages sur la Résistance, la collaboration et le
gaullisme ; plusieurs ont été couronnés, notamment par l’Académie française.
Elle a ainsi publié Nouvelle Histoire de Vichy (Fayard, 2012, grand prix
Ouest-France/Société générale) et Histoire des 16. Les premières femmes
parlementaires en France (Fayard, 2017).
propres femmes. Car jamais, dans leur histoire, les Françaises ne se sont
autant engagées que pendant la Seconde Guerre mondiale.
Dans ce bel essai, Michèle Cointet dresse le portrait de cette France au
féminin, des collaborationnistes et familières du pouvoir, telles la Maréchale
ou Josée Laval, aux résistantes et déportées. En suivant les destins des
nombreuses volontaires de la France libre, des chefs de la Résistance, Berty
Albrecht ou Marie-Madeleine Fourcade, et des petites mains, l’auteur restitue
les formes multiples de l’engagement des femmes dans la guerre. Car si les
convictions politiques en étaient parfois le moteur, il fut souvent le fait
d’une éducation patriotique et d’une éthique. Une dimension que l’on retrouve
dans la difficile question de la déportation féminine.
Autant de questions renouvelées par le regard d’une historienne avertie des
réalités de la société française et qui éclaire d’une manière inédite
l’histoire des femmes jusque dans l’après-guerre. La voie de leur intégration
à la vie politique était en effet ouverte.
Professeur émérite d’histoire contemporaine à l’université de Tours, Michèle
Cointet a écrit de nombreux ouvrages sur la Résistance, la collaboration et le
gaullisme ; plusieurs ont été couronnés, notamment par l’Académie française.
Elle a ainsi publié Nouvelle Histoire de Vichy (Fayard, 2012, grand prix
Ouest-France/Société générale) et Histoire des 16. Les premières femmes
parlementaires en France (Fayard, 2017).
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