- EAN13
- 9782213682785
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 13/06/2013
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Fayard 22,00
Entre 20 et 25 ans nos enfants sont encore des ados et déjà de jeunes adutes!
Ils habitent souvent chez nous et rêvent de voler de leurs propres ailes… Ce
livre met en scène la difficile séparation d’une mère et de sa fille. Que
faire face à la violence de nos grands enfants, à leurs attaques si injustes
qu’il nous arrive de les détester et de souhaiter plus que tout qu’ils s’en
aillent. Pourquoi nous provoquent-ils, quelles limites cherchent-ils à forcer
quand ils nous poussent à bout ? Présenté comme un journal intime, Va-t’en
mais reste encore est avant tout la chronique d’une situation de crise entre
une mère et sa fille, au moment crucial où se joue la double question de
l’autonomie de l’une et de l’autre, provoquée par le départ de sa fille. Notes
prises sur le vif, au jour le jour, dans l’urgence, avec l’intention d’être le
plus proche possible du détail de la vie quotidienne. Dans une langue sobre et
pudique, l’auteur révèle au lecteur, et c’est peut-être le grand apport de ce
livre, l’existence d’une souffrance négligée, la souffrance de l’enfant qui
part. Quel que soit l’âge où finalement il décide de quitter le domicile
familial, l’enfant part trop tôt s’il ne dispose pas de cette sécurité
intérieure qui le rendra apte à assumer son autonomie. Ainsi, la fille de
l’auteur sera sujette à des crises de panique graves dues à l’angoisse de
séparation. Mais ces crises, cette impression d’avoir touché le fond, sont
avec le recul des expériences salutaires ; ces épreuves sont l’occasion pour
parents et enfants de nouer de nouveaux liens
Ils habitent souvent chez nous et rêvent de voler de leurs propres ailes… Ce
livre met en scène la difficile séparation d’une mère et de sa fille. Que
faire face à la violence de nos grands enfants, à leurs attaques si injustes
qu’il nous arrive de les détester et de souhaiter plus que tout qu’ils s’en
aillent. Pourquoi nous provoquent-ils, quelles limites cherchent-ils à forcer
quand ils nous poussent à bout ? Présenté comme un journal intime, Va-t’en
mais reste encore est avant tout la chronique d’une situation de crise entre
une mère et sa fille, au moment crucial où se joue la double question de
l’autonomie de l’une et de l’autre, provoquée par le départ de sa fille. Notes
prises sur le vif, au jour le jour, dans l’urgence, avec l’intention d’être le
plus proche possible du détail de la vie quotidienne. Dans une langue sobre et
pudique, l’auteur révèle au lecteur, et c’est peut-être le grand apport de ce
livre, l’existence d’une souffrance négligée, la souffrance de l’enfant qui
part. Quel que soit l’âge où finalement il décide de quitter le domicile
familial, l’enfant part trop tôt s’il ne dispose pas de cette sécurité
intérieure qui le rendra apte à assumer son autonomie. Ainsi, la fille de
l’auteur sera sujette à des crises de panique graves dues à l’angoisse de
séparation. Mais ces crises, cette impression d’avoir touché le fond, sont
avec le recul des expériences salutaires ; ces épreuves sont l’occasion pour
parents et enfants de nouer de nouveaux liens
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