- EAN13
- 9782415010386
- ISBN
- 978-2-415-01038-6
- Éditeur
- Odile Jacob
- Date de publication
- 09/10/2024
- Collection
- OJ.LITTERATURE
- Nombre de pages
- 240
- Dimensions
- 22 x 14,5 x 1,5 cm
- Poids
- 264 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Loin du faste de la Cour, Pierre de Ronsard retrouve son Vendômois natal, dans la paix du prieuré de Croixval. La nature dont il avait chanté les charmes dans ses vers se déploie à présent sous ses yeux, dans ses frémissements les plus subtils.
Hupenoire, mystérieux gardien du jardin de Croixval, intercesseur inespéré, lui révèle la beauté poétique immédiate du règne végétal. Remarquablement lettré pour un homme de sa condition, il moque les descriptions abstraites de la nature des écrits de Ronsard.
Entre les deux hommes se tisse un échange teinté d’ironie, mêlé tantôt de rivalité, tantôt de respect mutuel. C’est que même la paix du jardin de Croixval ne peut rester sourde aux échos tragiques des guerres de Religion…
En questionnant le regard désincarné des grands poètes de la Renaissance sur la nature, Jacques Tassin signe un roman immersif et sensible. Attentif aux multiples sens de la beauté, il défend l’art du jardin comme art poétique apte à nous réinsérer dans la trame du vivant et remet en scène une période singulière mais très peu connue de la vie de Ronsard.
Hupenoire, mystérieux gardien du jardin de Croixval, intercesseur inespéré, lui révèle la beauté poétique immédiate du règne végétal. Remarquablement lettré pour un homme de sa condition, il moque les descriptions abstraites de la nature des écrits de Ronsard.
Entre les deux hommes se tisse un échange teinté d’ironie, mêlé tantôt de rivalité, tantôt de respect mutuel. C’est que même la paix du jardin de Croixval ne peut rester sourde aux échos tragiques des guerres de Religion…
En questionnant le regard désincarné des grands poètes de la Renaissance sur la nature, Jacques Tassin signe un roman immersif et sensible. Attentif aux multiples sens de la beauté, il défend l’art du jardin comme art poétique apte à nous réinsérer dans la trame du vivant et remet en scène une période singulière mais très peu connue de la vie de Ronsard.
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