- EAN13
- 9782707146762
- ISBN
- 978-2-7071-4676-2
- Éditeur
- La Découverte
- Date de publication
- 29/09/2005
- Collection
- Recherches
- Nombre de pages
- 220
- Dimensions
- 22 x 13,6 x 2 cm
- Poids
- 285 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 306.691
- Fiches UNIMARC
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Au commencement était le rite de l'origine des sociétés humaines
de l'origine des sociétés humaines
De Arthur Maurice Hocart
Traduit par Mark Rogin Anspach, Jean Lassegue
Préface de Lucien Scubla
La Découverte
Recherches
Redécouverte d'un des grands anthropologues du début du XXe siècle.
Où il est soutenu, notamment, que la mondialisation du rituel a largement précédé celle de l'économie ; que le mariage et les funérailles ont été d'abord un privilège royal qui a fini par s'étendre à toutes les couches de la société ; que la souveraineté a été originellement dévolue à des rois morts ; que c'est l'usage rituel de l'huile et des excréments qui a ouvert la voie à leur utilisation technique comme lubrifiant et comme engrais ; etc. Se pourrait-il donc – et telle est l'hypothèse provocante soutenue par l'auteur – que tout ce que nous appelons la civilisation, et toutes les institutions caractéristiques des sociétés humaines proviennent du développement et de la transformation d'activités rituelles qui se sont peu à peu répandues dans le monde entier ? Dans cet ouvrage posthume ici publié pour la première fois en français (titre original : Social Origins), A. M. Hocart, l'un des plus grands anthropologues du XXe siècle – dont les idées, après une période d'oubli relatif, reviennent en force –, présente toute une série d'arguments frappants en faveur de cette thèse qui remet en cause nombre de nos certitudes et ouvre un champ de réflexion immense. Social origins, publié quinze ans après sa mort par son ami et éxécuteur testamentaire lord Raglan, fait la synthèse de toutes ses recherches et hypothèses antérieures.
Où il est soutenu, notamment, que la mondialisation du rituel a largement précédé celle de l'économie ; que le mariage et les funérailles ont été d'abord un privilège royal qui a fini par s'étendre à toutes les couches de la société ; que la souveraineté a été originellement dévolue à des rois morts ; que c'est l'usage rituel de l'huile et des excréments qui a ouvert la voie à leur utilisation technique comme lubrifiant et comme engrais ; etc. Se pourrait-il donc – et telle est l'hypothèse provocante soutenue par l'auteur – que tout ce que nous appelons la civilisation, et toutes les institutions caractéristiques des sociétés humaines proviennent du développement et de la transformation d'activités rituelles qui se sont peu à peu répandues dans le monde entier ? Dans cet ouvrage posthume ici publié pour la première fois en français (titre original : Social Origins), A. M. Hocart, l'un des plus grands anthropologues du XXe siècle – dont les idées, après une période d'oubli relatif, reviennent en force –, présente toute une série d'arguments frappants en faveur de cette thèse qui remet en cause nombre de nos certitudes et ouvre un champ de réflexion immense. Social origins, publié quinze ans après sa mort par son ami et éxécuteur testamentaire lord Raglan, fait la synthèse de toutes ses recherches et hypothèses antérieures.
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